Xavier ROUZAUD

Mon cousin, j’ai tent de souvenir avec toi quand j'étais jeune adolescent. Nous partions avec ton scooter sur le vieux port. C’est la première fois que j’ai eu cette sensation de liberté et le souvenir de mon premier festival reggae.
Repose en paix cousin

Mon cousin..beaucoup de souvenirs me reviennent depuis que tu es parti..souvenirs d enfance..quand je venais vous voir à Marseille ou quand on se voyait à Serignan et que tu faisais "bisquer"mamie Jeanne ..souvenirs quand on était venu te voir à l'Estaque et que tu avais tellement pris de plaisir à nous faire visiter Marseille..et à nous cuisiner du poisson, je m en souviens encore tellement je m étais régalée!
Et puis surtout, ton sourire, ton humour et le grand plaisir que tu prenais à nous faire rire.. ..
Repose en paix mon cousin ❤

Plus plus ❤️❤️❤️ pour toi zizou

Vol vol mon frère va rejoindre les étoiles va rejoindre notre arbre d'amour pour qu'il te guide sur le chemin de Jacqueline ❤️‍🔥 et Gérard
A bientôt ta sœur dans mon cœur

Ta sœur, ton beau-frère, tes deux frères et belles-sœurs chéris
Aujourd’hui, nous sommes réunis pour dire au revoir à Xavier.
C’est toujours difficile de résumer une vie …
Surtout quand cette vie a été remplie de tant d’histoires, de rires et de souvenirs.
Xavier est né le 15 Décembre 1962.
A sa naissance, ses parents étaient encore élèves infirmiers au Vinatier à Lyon. Ils ont confié sa garde à Marie-Thérèse GUIDON qui deviendra rapidement "Nounou" pour toute notre famille. Ces trois filles ont "adopté" ce nouveau-né qui partageait leur quotidien, elles l'appelaient "Petit frère".
Nounou a toujours était présente pour Xavier dans les étapes importantes de sa vie, pour un conseil, un soutien. Ils se sont beaucoup aimés.
Il est l’aîné d’une fratrie de 4 enfants.
Avec un père aimant et une mère, Jacqueline, que nous avons perdu beaucoup trop tôt, Xavier n’avait que 10ans.
La vie lui a alors offert une autre présence « maternelle », Thérèse, qui a su l’accompagner et l’aimer, à sa manière…
Il a étudié la mécanique et obtenu son CAP.
Très tôt, il a montré un goût pour l’aventure et les expériences en tout genre.
On se souvient encore de lui, montant sa Vespa dans l’ascenseur au 9ème étage, pour la réparer dans sa chambre ! Comme si c’était la chose la plus naturelle du monde !
On se souvient aussi, de la fois où, quand notre père s’absenta, Xavier eu la riche idée d’enflammer des voitures miniatures et de les faire tourner sur le circuit électrique pour imiter les « cascadeurs » … nous avons eu de la chance de ne pas mettre le feu à l’immeuble !
Il a fait son service militaire en 1981, les classes à Hourtin puis s’est engagé en VSL sur le porte-avion Le Clémenceau ou il a découvert le Grand Large et renforcé son sens de la camaraderie.
Il a fait escale à Chypre, en Egypte et au large du Liban.
Mais une fois revenu à la vie civile, il a vite retrouvé ses grandes passions : la pêche, les fêtes en famille et entre amis, et surtout … les blagues en tout genre.
Avec lui, il fallait toujours s’attendre à un mot drôle, un sourire en coin, ou à une histoire un peu farfelue.
Xavier aimait profondément les siens, les repas festifs, les éclats de rire, les moments passés au bord de l’eau avec ses cannes à pêche.
Ces dernières années, Laure a partagé son quotidien. Elle l'a soutenu et profondément aimé.
Aujourd’hui nous perdons un frère, un ami, un compagnon de vie.
Mais nous gardons en nous ses sourires, ses clins d’œil, ses histoires improbables et cet amour sincère qu’il avait pour sa famille et ses proches.
Alors, même si nos cœurs sont lourds, souvenons-nous de lui comme il l’aurait voulu … avec un sourire, un souvenir tendre, et peut-être qui sait se remémorer une de ses blagues en son honneur.
Rappelez-vous de son légendaire :
« Santé, mais pas des pieds » … à l'heure de l'apéro, on y loupait jamais !
Au revoir Xavier, Merci pour tout ce que tu nous as laissé … tu resteras pour toujours dans nos cœurs.

A notre zizou chéri
Marie-Claude, Christine et Giorgio

XAVIER
Avril 1963 : Tu avais quatre mois à peine lorsque tes parents t’ont confié à nos parents, parce que leur travail ne leur laissait pas le choix. Toi, petit bonhomme encore tout neuf, tu es arrivé dans notre vie … et tu as tout de suite trouvé ta place dans les bras de ta Nounou. Elle, qui avait toujours rêvé d’avoir un fils, était comblée !
Il faut dire que nous étions trois filles… Alors toi, « le petit frère de cœur » tu es très vite devenu notre « Zizou » avec ton sourire malicieux et ton rire contagieux.
Pendant deux ans, tu as égayé nos journées… et parfois aussi nos repas ! Surtout quand tu décidais de recracher la soupe que Nounou s’appliquait à te donner à la cuillère. C’était un de tes numéros de clown, et nous, on riait, même si Nounou, elle, riait… un peu moins.
Quand on rentrait de l’école, tu étais tellement heureux de nous voir que tu secouais ton parc de toutes tes forces, comme si tu voulais le démonter. Ce qui, d’ailleurs, arrivait souvent…
Papa Nounou ne t’appelait pas « brise-fer » pour rien ! Tu as cassé ton parc plus d’une fois, avant de passer aux vélos et aux voitures avec ton côté « casse-cou » !!!
Puis est venu le moment du départ… Avec la naissance de ton petit frère Fabrice, tes parents ont pu aménager leurs horaires pour vous garder. Mais quel déchirement ! Quand vous passiez en bas de chez nous, tu hurlais pour venir voir ta Nounou. Et elle, chaque fois, avait le cœur serré.
Les années ont passé mais le lien est toujours resté très fort. Même adolescent, tu venais passer les vacances avec nous au camping. À douze ans, déjà épris de liberté, tu aimais partir à la pêche tout seul, tu disparaissais dans les tentes des copains - copines … et Giorgio qui te surveillait du coin de l’œil allait te récupérer quand la nuit tombait …
Giorgio n’oubliera jamais
Xavier, tu avais ce grain de folie, cette vivacité d’esprit qui faisait qu’on ne s’ennuyait jamais avec toi. Tu aimais rire et faire rire.
Tu étais vrai. Trop pur, peut-être. Trop sensible sûrement.
Dans tes sentiments comme dans ton travail, tu prenais tout à cœur.
Les contraintes, très peu pour toi !
La vie, c’était à TA manière, librement et tu l’as souvent traversée selon tes envies.
Aujourd’hui, nous pleurons ton départ. Nous t’envoyons une immense bulle d’amour pour t’aider à t’élever : Vas en paix rejoindre les étoiles… là-haut, tout près de tes parents, de ta Nounou chérie et de tous ceux avec qui tu as partagé tant d’amour.

A notre Tonton chéri
Adrien, Mathieu, Pauline et Minoli

Tonton,

Aujourd'hui nous sommes réunis pour te dire au revoir et Merci.
Merci pour ton Humour, pour ton rire communicatif, pour cette âme d'enfant qui faisait de toi un Tonton pas comme les autres.
Tu étais notre complice, notre Tonton blagueur, celui avec qui on pouvait faire des bêtises, expérimenter ...
Adrien n'oubliera jamais les apéros en Sardaigne après les parties de pêche.
Pauline se souviendra toujours du jour où, a seulement 7 ans, tu lui as fait tirer à la carabine sans la prévenir du recul ... et qu'elle s'est pris le canon dans l'œil ! elle a eu mal certes ... mais elle riait aussi, et elle était heureuse.
Pauline et Mathieu se souviendront aussi des 24 Décembre, à la Rue Roux de Brignoles, quand ils arpentaient la rue en te tenant la main en espérant croiser le Père-Noël ... était-il en train de distribuer des cadeaux à nos voisins ?
Tu savais rendre ces moments uniques ... encore plus magiques.
Et puis il y a eu nos vacances au Camping, à Castellane. Nos balades nocturnes avec les lampes frontales, tes histoires, nos éclats de rire.
Minoli se souviendra toujours des coloriages que vous avez fait ensemble, sur le mur du salon.
Voilà ce que nous garderons de toi : des moments drôles, sincères, lumineux ... ton sourire, tes blagues et ton âme d'enfant.

À la famille Rouzaud,
C'est avec tristesse que j'ai appris le décès de votre frère.
Même si je ne l'ai pas connu personnellement, je sais à quel point il comptait pour vous et je tiens à vous adresser mes pensées les plus sincères en cette douloureuse épreuve.
Avec toute mon amitié, bon courage.
Marie.