José Garcia

Mon cher tonton Néné qu est ce que vous allez me manquer Tati et toi mais le simple fait de savoir que vous êtes à nouveau réunis me réconforte. Avoir était à tes côtés quand tu en avais le plus besoin à été pour moi un honneur, l honneur de voir un grand homme se battre comme un guerrier et donner une leçon de vie à tous le monde et surtout l honneur d être ta nièce. Pascal je pense à toi avec tendresse en sachant exactement ce que tu ressens mais tu es un battant comme ton père et tu arriveras à surmonter cette épreuve si difficile, en tout cas tu sais que tu peux compter sur mon soutien. Ils étaient fier de toi et ils avaient raison tu as été un fils formidable comme ils adoraient le dire et tu as fait tout ce qui était possible et inimaginable pour eux n en doute jamais. Cyrille les enfants et moi t embrassons tendrement.

Mon cher Pascal mes plus vives condoléances pour la disparition de ton bien aimé papa. Une fois encore je me joint à toi pour traverser cette douloureuse épreuve. Je garderai toujours de très bon souvenir de tes parents qui sont partis si vite, j'espère qu'ils se sont retrouvés pour toujours qu'ils reposent paisiblement ensemble réunis pour toujours. Amitié. Marc.

Pascal, La peine est immense, tout autant que le vide laissé derrière eux. Mais que de bons souvenirs avec Néné et Yvette : la pêche à la truite avec Tonin l'ardéchois, les caisses de sanguins à Seyne les Alpes, les randonnées en montagne, et le génépi partagé dans les refuges, et celui aussi d'une tirade en provençal que Néné se plaisait à dire avec un ton mystérieux : "E l'ase bramava, la carreta s’enfangava, rèn bolegava, e totjorn ploviá, e "mon vier" disiá Moustier" Adieussiatz Nené, Adieussiatz Yvette.

Tu l as voulu ainsi… Ni la volonté, ni le courage de pascal ne t auront fait dévier de l’objectif que tu t étais fixé : rejoindre Yvette au plus vite. Comme on te comprend… car l’un sans l’autre ce UN indivisible que vous aviez formé au bout de tant d années passés ensemble, était bancal et ne pouvait pas survivre. Tu l as vite compris malgré ces quelques sursauts de vie que tu as pu avoir ces 3 derniers mois. Avec ta gouaille sans pareil, je t entends dire de là-haut « hé, laissez moi partir qu est ce que vous me cassez les c… ». Alors, rejoins Yvette et nous, nous gardons ce souvenir de Noël dernier que nous avions passé ensemble, victuailles, chants, ballades, rigolades, convivialité et amour, rien n’y manquait... Je te revois attablé en train de lire ce gros pavé d’Obama. Tu prenais soin de le lire avec une carte de téléphone pour t aider à lire ligne par ligne sans en perdre une miette. Quelle détermination ! Quel beau noël nous avons pu partager ensemble ! Et cette dernière coupette de champagne improvisée que nous avons pris ensemble aux pennes pour fêter l’anniversaire d Yvette. On t avait découvert le visage meurtri car tu étais tombé dans la douche quelques heures plus tôt… malgré tout, tu veillais à ce qu elle mange la banane écrasée et sucrée que tu venais de lui préparer pour lui redonner de l’énergie, car tu la savais très faible. Tu as été un mari très attentionné. Adieu plongeur, je ne partagerai plus avec toi mes premiers souvenirs de plongée, je le regrette déjà…

C'est avec une profonde tristesse et une vive émotion que nous avons appris la nouvelle. Toute la famille se joint à moi pour présenter nos condoléances. Robert, Malika, Christelle, Julien et Amandine.

J'ai fait la connaissance de votre famille il n'y a même pas un an, j'estimais vos parents davantage chaque semaine et je pense que c'était réciproque... Ils étaient adorables, très attachants et je regrette profondément de ne pas avoir pu les aider plus longtemps... Votre père était discret, timide mais très intéressant... Ils nous ont quittés trop tôt... Mais se sont retrouvés pour toujours... Ils reposent paisiblement ensemble, à nouveau réunis... Ça n'apaise certainement pas votre profond chagrin, car perdre ses parents si rapidement et en si peu de temps est terriblement douloureux... Il n'y a pas de mots pour décrire ce sentiment... Vous avez toujours été très proche, très présent et attentionné... Je vous présente mes plus sincères condoléances... Je suis de tout cœur avec vous... Reposez en paix Mr Garcia José...

Et voilà, ainsi va la vie.Il faut se faire une raison! On imagine le choc qu’a été pour Néné la mort de « son » Yvette. Ils ont cheminé tant de mois , tant d’années l’un avec l’autre , l’un contre l’autre, ils ont affronté les problèmes, ils ont aussi partagé de multiples joies. Finalement on peut dire qu’ils ont eu une belle et longue vie. Nous pensons particulièrement à toi Pascal , qui a été si cher à leur cœur . « Le vrai tombeau des morts est le cœur des vivants » c’est ainsi qu’ils vivront désormais à travers toi , mais aussi à travers nous , nous avons tellement partagé des moments heureux . Nous t’embrassons très fort ainsi que Caroline . Aline , Christian , Nathalie , Marc, Nina et Clémence

Cher Pascal, Nous te souhaitons à nouveau toutes nos condoléances dans cette difficile épreuve. Ton papa est allé retrouver son amour, ils sont ensemble maintenant ! Nous t'embrassons fort. Flore, Julien, Lilou et Ethan.

A notre José, un guerrier, un battant jusqu'à son dernier souffle, il restera gravé dans nos cœurs comme un beau père et deuxième papi exceptionnel. Complice avec les siens, humoriste à ses heures et éternel ami des animaux. Nous t'aimons José. Meg, Mika, Linoï et Caro.

Mon cher Pascal, Cette triste nouvelle me laisse sans voix. Pour votre papa c'est sûrement une délivrance mais devenir orphelin est vraiment cruel. Vos parents ont emporté avec eux des souvenirs que vous étiez seuls à partager. Je vous souhaite beaucoup de courage et de patience pour retrouver la joie de les avoir connus comme personne et de vivre comme ils vous ont éduqué. Décidément 2021 sera une année marquée d'une pierre noire. J'espère que vous êtes bien entouré et n'hésitez pas à m'appeler si vous avez besoin de parler. Vous serez toujours le bienvenu pour lever une flûte de champagne au nom de notre fidèle amitié. Je vous présente mes sincères condoléances suis avec vous par la pensée. Bien affectueusement, Claudie.