André LE GOFF

Cher Papi Dédé,
Les années sont passées mais le souvenir de nos haltes sur la route des vacances restent intactes. On se souviendra toujours de ta bienveillance, de ton sourire et de tes farces, sans oublier ces repas, tous ensemble, autour de la délicieuse soupe au pistou de Mamie Eliane.
Tu vas nous manquer.
Avec toute notre affectation.
Assia et Mehdi

Merci à tous pour votre présence à nos côtés.

Je te remercie pour tous ces moments passés ensemble. Pour l'accueil que tu nous toujours réservé avec les miens, tout moments de l'année. Je t'embrasse .
KENAVO.

À mon troisième Papy,

Dans la vie, généralement, nous avons 2 Papy. Ce n'est pas le cas pour moi, car moi, j’ai eu la chance d’en avoir 3 !
Merci pour ses beaux souvenirs, les nouvels ans, les fêtes de Pâques, les repas de famille, les grandes tablés tous ensemble comme si nous étions une seule et même famille.

Je garderais en mémoire ton parfum dans la salle de bain quand tu te préparais le matin, ta voix grave quand tu voulais nous faire peur et cette petite place à côté de toi sur ton iconique fauteuil.

On va prendre soin de mamie,
Je t’aime

Kenza

Dédé,
Je me devais d'être présent aux côtés d'Eliane pour la soutenir dans ce moment douloureux, tant notre amitié et relations ont marquées nos deux familles .Dès nos premières réunions familiales que ce soient à Moulins ou à Aubagne nous nous sommes entendus sur les mêmes valeurs , nous avons partagé tant de moments heureux et nous sommes soutenus lors des évènements douloureux .Je garde en mémoire le dernier Noël avec Michèle que nous avons partagé ensemble avec joie et bonheur.
Eliane,
Dédé va nous manquer mais mon amitié reste intacte et tu peux compter sur moi et mon soutien .

Au revoir Papa !

Salut Papi, Salut Papa,

Malgré ces dernières années ou je ne suis pas venu te voir, je n’ai cessé de penser à Toi et a Maman. J’avais toujours des nouvelles de toi par Maman lors de nos quelques échanges téléphoniques, par les messages accompagnés de photos de Franck ( ha la modernité), ou par Manon quand elle venait te rendre visite.
Mon dernier souvenir sera notre première cousinade, ou pour moi tu paressais heureux de voir de nouveau toute la famille LE GOFF réunie. La maladie te touchait déjà, mais j’ai fermé les yeux pour ne voir que ta bonne humeur et tes sourires. J’ai eu peur d’affronter cette réalité.
Je t’ai accompagné dernièrement à l’hôpital avec Maman et Franck, je n’ai pas vu, ou pas voulu voir que tu n’allais pas bien, en ne voulant garder égoïstement en mémoire que ces derniers sourires. Mais cela était dur de te laisser ainsi.
En partant ce jour-là, en te disant au revoir, tu m’as murmuré quelque chose, je me laisse à laisser entendre « Au revoir fils ». Cela aura été le dernier.
Puis est arrivé ce dimanche matin, ou au moment où tu partais (et oui je me lève de très bonne heure) je regardais justement des photos ou tu apparaissais comme un dernier message sans savoir que tu nous quittais.

Je sais que maintenant tu es calme et serein et que la maladie ne te rongera plus. Tu es partie rejoindre Papi et Mamie, ton frère et tes sœurs, profites bien de cette nouvelle vie ….
Tu vas nous manquer, au revoir Papa.

Pour certains, c’était André, Monsieur Le Goff, ou encore DD, puis la version « DD du Verduron ».
Pour nous, c’était tout simplement Papi. Et c’était un formidable Papi, avec qui on a tant de souvenirs.

Un Papi avec qui on passait nos vacances d’été.
Un Papi qui râlait et cachait nos pistolets à eau quand on l’arrosé.
Un Papi qui mangeait la pâte des gâteaux avant qu’elle ne cuise, un vrai Papi gourmand.
Un Papi qui nous piquait les bras avec sa fourchette à table.
Un Papi d’une étonnante organisation quand il s’agissait de choisir ce qu’il allait regarder à la télé le soir, armé de son surligneur et de son programme télé.
Un Papi qui aimait ses petits-enfants.
Et qui aimait aussi Pierrick et Corentin comme ses petits-enfants. ll a été témoin de leur traumatisme avec le fameux cahier de vacances.

Pour ne pas faire un discours trop triste, on a choisi de partager notre meilleur souvenir.
C’était pendant les vacances d’été : alors qu’on mangeait la célèbre salade de Mamie : pommes de terre et cervelas; Papi nous racontait l’histoire de la grotte de Lourdes et de Bernadette Soubirous. Mais lui, il disait : « Souzbirrrrouuu ». Et ça nous faisait tellement rire, encore et encore. On en reparle toujours aujourd’hui.

À la fin, même quand sa mémoire s’en allait, il est resté un homme gentil, doux, poli, tendre et amoureux de Mamie.

Bref, ces quelques mots pour dire qu’on t’aimera toujours papi.

Margot et Ugo